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Presse

“Quand, à Paris, on chante Madaure”
« C'est l'été et l'herbe a jauni autour des pierres. Le sirocco d'août se mélange aux complaintes des colonnes fauves et c'est comme un puissant vent de l'Histoire qui souffle sur la cité.

Je suis là, en face de la scène de cet inoubliable après-midi de mai... La pluie ne me dérangeait même pas car tes paroles et celles de Zayen, la danse d'Alexandra et celle des collégiens, me faisaient oublier le temps présent.

Je suis là, au milieu de la canicule et de la Numidie, ma terre, mes entrailles. Je lis sur mon smartphone ta nouvelle chanson, mis en ligne ce matin. Madaure chante avec toi... »

Maâmar Farah, Le Soir d’Algérie, 4 août 2015

 

“Jean Lapierre, le sens du mot qui fait mouche”
« Il est des lieux qui font chaud au cœur quand on aime la Chanson Vivante. Tel le Petit Théâtre du Bonheur, dans le 18ème arrondissement parisien, le long de l'escalier qui monte vers le Sacré-Cœur de Montmartre, au-dessus de la rue des Trois Frères.
Un lieu intime et chaleureux animé par une association et synonyme de rencontres entre passionnés d’une chanson aux accents de voyages sans frontières en compagnie de Jean Lapierre, seul avec sa guitare ce vendredi soir, sans ses deux musiciens absents pour raison de santé…
Mais cela pas empêché l'auditoire de vagabonder sur la
Nationale 113, de croiser Patti Smith sur les traces d'Arthur Rimbaud à Charleville-Mézières et Paris. Entre hymne à une liberté ayant du sens, reprise française de Suzanne de Léonard Cohen et évocation d'une Lampe des voyageurs aujourd’hui inutile, Jean Lapierre jongle avec aisance avec les personnages et les paysages, les ambiances et les émotions…
Bravo à Jean, pour cette fête des mots ! »

Albert Weber, Francomag, Décembre 2012

 

 

 

 


 

 

Hafid Azzouzi, El Watan, Algérie, 8 août 2012

 

«  … Dévoilant son âme de poète, se révélant une bête de scène, sachant en prime mettre de l'ambiance parmi les spectateurs venus légion l'écouter, Jean Lapierre a manifesté et nous a fait partager sa passion pour la musique et la scène. Le public, composé essentiellement de jeunes, semblait vibrer sur les chansons de Jean Lapierre, notamment sur  L'étranger invisible, T'as le rythme… »

Dauphiné Libéré

 

(…) " Le récital du chantauteur parisien Jean Lapierre au Théâtre National " Marin Sorescu " a été précédé par une rencontre avec les lycéens du Collège National " Stefan Velovan " qui ont manifesté leur amour pour le français et la musique en collaborant avec leur invité dans une atmosphère festive, très chaleureuse. La même chaleur humaine s'est instaurée dans la salle de spectacle, car l'artiste a réussi à créer des liens tout particuliers avec le public formé surtout par de jeunes élèves des lycées de Craiova. Le thème des Fêtes de la francophonie étant cette année celui de la " Rencontre ", il s'est matérialisé par la passerelle qui a réuni les âmes des partenaires de ce dialogue musical. Les textes de Jean Lapierre, tout comme sa voix chaude, ont soulevé des vagues d'applaudissements… "

Marga Bulugean, Cuvântul Libertatii, (La Parole de la Liberté) Craiova (Roumanie), 28 mars 2008


 

 

 

 

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                                                                                    

C. B., 20 minutes Paris, 4 décembre 2008​

« (...) Le réseau a pour objectif de créer un pont entre le monde artistique et les malades hospitalisés... Une façon "d'oublier" la maladie et ses contraintes le temps de quelques chansons. "C'est important d'aller vers les gens, de les faire participer", explique le chanteur Jean Lapierre.
"Mercredi dernier, une patiente très stressée par sa rééducation, m'a remercié en me disant que je l'avais fait voyager. J'étais très heureux, car c'est là, la fonction de l'artiste", se réjouit-t'il (...) »

France Soir Paris, 6 décembre 2008

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